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Krum est un illustrateur suisse né en 1979. On le découvre en 2003, au Festival de Bande Dessinée de Sierre où il est primé dans le concours des nouveaux talents. Son premier album, L'Au-Dessus (2004) est largement salué par la critique.
Depuis, le veveysan a surtout été actif dans le domaine de l'illustration, matière qu'il enseigne dans une école d'art visuel de Lausanne.
Il revient en 2015 de plain-pied au 9ème art, avec une trilogie de science-fiction. Le premier tome O2, paraît chez Hélice Hélas Éditeur. L'histoire met aux prises un jeune auteur de bande dessinée face à son milieu et en proie au doute.
Malgré les dix années qui séparent O2 de L'Au-Dessus, l'identité artistique de Krum reste bien présente: des univers imaginaires et oniriques où des histoires sans parole laissent planer un sentiment contemplatif. une large place est faite au rêve et à l'interprétation, bien loin des scénarios cousus de fil blanc.
Ses œuvres sensibles portent au voyage.
Dès son plus jeune âge, Salvatore Piscopo, né à Naples en 1976, a manifesté un vif intérêt pour les arts visuels, plus spécifiquement ceux de l'époque classique et contemporaine.
Après l'obtention d'une maturité artistique, il poursuit ses études supérieures à l'Académie des Beaux-Arts dans sa ville natale et s'oriente vers la peinture et la photographie. Par la suite, il commence à oeuvrer dans sa région en participant à plusieurs concours organisés par des associations engagées dans la découverte et la promotion de jeunes talents locaux. De nature éclectique, il se produit en tant qu'artiste peintre et scénographe pour le théâtre et la télévision, sans pour autant négliger la tradition familiale des crèches napolitaines, qu'il réalise en collaboration avec les artisans les plus réputés du chef-lieu.
En 2003, il s'envole pour la Suisse où il ajoute à son bagage diverses collaborations avec des artistes de l'arc lémanique. Il conçoit et produit des décors d'intérieurs, tel que des trompe-l'oeil ou encore du mobilier, destiné à plusieurs performances collectives. Enfin, il anime différents ateliers créatifs ouverts au public.
Actuellement, Directeur Artistique de l'association Kymè pour la promotion du patrimoine culturel des pays du bassin méditéranéen, Salvatore Piscopo organise des expositions visant à valoriser l'art et les traditions des ces différents territoires.
Photographe indépendant, valaisan vivant à Vevey. Voyageur impénitent, il ramène ses images d’incessants déplacements dans le monde entier. Maintes fois exposé, il remporte un vif succès avec son approche très personnelle et ses thématiques particulières.
En tant que minimaliste je pense qu’il est important d’aller à l’essentiel sans qu’aucun artifice ne vienne gâcher l’imaginaire !
Courir derrière un style n’est pas très intéressant par contre le recréer sans cesse, ça oui… Car c’est au cœur de l’acte de voir et non d’une manipulation, que naît l’expression.
Ma voie est de transfigurer les réalités immédiates sans avoir à les déformer
La photographie n’entre pas dans la sphère de l’art par l’intercession d’un système plastique, mais à travers certains états privilégiés de l’âme
Passer de la poésie à la photographie c’est changer de moyen sans en varier l’essence
Faire une image, c’est d’abord faire le vide en soi afin de se retrouver dans un état d’extrême réceptivité
Pour moi, il y a quatre raisons de photographier :
Posséder le réel
Le métamorphoser
Apprendre à l’accepter
Prendre conscience de la divinité en soi
Originaire de La Coruña, Ruben Lorenzo a nourri son appétit créatif à la mamelle des productions délirantes de Buñuel. En s’engageant plus tard dans des études de graphisme au sein de l’école d’art Pablo Picasso, il découvre les possibilités infinies offertes par la conception graphique. Il entreprend dès lors de mêler dans son travail artistique: surréalisme et création virtuelle .
Anne-Marie Aeberhard, dite Ama.
Je me souviens avoir toujours dessiné, griffonné, peint sur toutes sortes de supports tels que les cahiers, papier craft, canevas, textiles, bois, ferraille, terre à modeler, corps humains, murs et maintenant sur des galets que... je sème comme le petit Poucet qui voulait retrouver sa maison.
De maison, je n’en ai pas : je vis dans une caravane installée dans un camping au bord du lac Léman, au milieu d’un port, d’un chantier naval et d’une gravière : tous mes galets peints ont été précédemment dragués au fond du lac et amenés par chalands pour finir déversés dans cette gravière où des millions d’autres forment maintenant trois pyramides de plusieurs mètres de haut. Si je ne les ramasse pas, ils seront transportés par camions, sur des chantiers et se transformeront en béton pour construire des maisons.
Ma tribu de galets peints, provenant du calme règne minéral, sont mes nouveaux repaires de poussière d’étoiles sur la Terre. Je les suivrai, à la manière du petit Poucet, pour voyager dans le Monde imaginaire, toujours à la recherche de mon chez moi.
Depuis mon plus jeune âge, je m'amuse et m'émerveille du mélange des couleurs.
Dès lors, c'est naturellement que je me suis engagée à l'Ecole d'Art Martenot de Meyrin (Genève) où j'ai eu la chance d'y découvrir et d'approfondir différentes techniques.
Aujourd'hui, le travail des reliefs à la spatule à l'intérieur de compositions abstraites occupe une grande place dans mes créations.
Les dessins d'anatomie et les portraits constituent pour moi les meilleures manières de capturer une vérité: plus c'est grand, mieux c'est! Bien que je m'exprime à travers des dessins réalistes, je ne pense pas que tout sujet mérite d'être mis sur papier. L'effet final réaliste n'est en rien l'objectif principal. Je remarque des visages, j'entends des histoires, je découvre de la musique, je perçois des expressions et confectionne des idées que je recherche avant de dessiner. Je voudrais que mes dessins dégagent une énergie, plutôt qu'uniquement une précision.
Donner de l’espace à la création dans ma vie, voilà l’aspect central de ma personnalité. Je suis une artiste à multiples facettes.
Mon caractère artiste s’est révélé d’abord par le son et la voix. Très jeune j’ai commencé à découvrir la peinture et ma voix en milieu scolaire et j’ai commencé à vivre ma créativité bien plus tard vers l’âge de 30 ans.
J’ai choisi l’acrylique pour sa matière malléable et généreuse à poser sur la toile, l’encre de chine, le crayon gris et la craie pour leur intensité et profondeur sur le papier. Par le biais de mes peintures intuitives, je donne à voir ma vision du monde où tout est en lien. Par la danse, j’aime transmettre mon énergie de « feu » qui vient du Sud de l’Italie. Je transmets cette danse traditionnelle et rituelle qui crée du lien entre les gens. Dans une version minimaliste et onirique qui regroupe à la fois la dimension traditionnelle et contemporaine. A travers mon association Taranta Suisse Romande, je donne des ateliers de tarentelle appelée pizzica pizzica, des événements et des conférences.
Du croquis à la photographie, de la sculpture à la peinture, Payam Bidari est un artiste, artisan passionné, qui structure ses oeuvres avec son œil d’architecte.
Inspiré par l’art visuel dès son plus jeune âge, il poursuit son travail avec la peinture nourrie de ses rencontres humaines et culturelles qui ont jalonné ses voyages.
Peintre curieux et sensible, sa bouillonnante créativité jaillit pour exprimer l’intensité de ses émotions. L’Iran et la Suisse s’enchevêtrent dans ses textures et ses couleurs. Chaleur et précision forgent l’alliance inattendue chez cet artiste.
Jean Carlos Puerto est un artiste né à Caracas au Venezuela de parents immigrés, italien et espagnol. Sa sensibilité artistique a toujours était motivée par des sujets difficiles tels que la différence ou l'exclusion. Bien qu'il ait toujours dessiné, l'art n'a pas tout de suite fait partie de sa vie. Il a d'abord voulu mener des étude de psychologie, puis il a mis à profit ses connaissances téchniques auprès d'enfants maltraités durant 10 ans. Ce n'est qu'en 2009 que Jean Carlos Puerto sent que le dessin peut lui permettre d'exprimer et de soulager les soufrances qu'il ressent et qu'il observe au quotidien. Il étudie alors l'art et le dessin et termine ses études académiques en 2014. En 2015 déjà, remporte quelques prix, selections et mentions qui le font découvrire sur la scène nationale espagniole.
Aujourd'hui Kymè est heureuse de vous présenter cet artiste à la sensibilité ardente. Ses toiles, qui démontrent une grande proesse technique, sauront vous émouvoir.
Nous vous invitons d'ailleurs à les découvrire en avant première lors de notre événement: SexPoser: à Lausanne au GT'S Lounge Club, le vendredi 9 avril à 19h30.
Américo Brito est né le 25 mars 1981. Depuis son plus jeune âge, il trouve sa liberté dans le dessin et la peinture. Entre art urbain et art moderne, cet artiste pluridisciplinaire, dont l'atelier se trouve à Vevey, s'inspire du monde qui l'entoure, du 7ème art et de la littérature : "Je n'aime pas rester enfermé dans un seul style, j'ai besoin de pouvoir sauter d'un genre à un autre. Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas forcément" image l'artiste. Sa capacité à ne pas rester cantonné à un seul mouvement artistique renforce la dynamique de ses œuvres uniques et originales qui sont influencées par les grands maîtres de la peinture, de la mouvance underground et des artistes POP.
Technique : crayon gris F/ H /HB / 7B